À bord du wagon-bar aux rencontres d’Arles
Snack de première classe
Les images de l’exposition nous montre cet aspect gargantuesque des repas en train, avec les menus fastueux, la technicité mise en place pour garder la nourriture, les images des cuisines, et l’évolution de la vaisselle à bord. Et puis dans les années 60, le transport en train se voit menacé par l’avion, et particulièrement les voyages dans les nuages en classe affaires. Mais la voiture-restaurant n’a rien à envier du service aérien aux petits-oignons, c’est ce que tentent de présenter quelques films et affiches publicitaires à coup de grands classiques de la gastronomie française et d’une clientèle en robe Courrèges.
L’entrée du minibar
Bref, la restauration dans les trains a été l’objet d’une créativité foisonnante pendant plus d’un siècle, en s’adaptant à la technologie de ces moyens de transport en plus des habitudes des voyageurs.
Aujourd’hui, on se rend en voiture 4 pour acheter une canette de soda ou un paquet de chips, enfin à vrai dire je ne sais pas ce qu’on y fait concrètement vu que je n’y mets jamais les pieds et qu’elle est fermée les ¾ du temps. Mais avec l’engouement ces dernières années pour le transport sur voies ferrées et la réouverture des trains de nuit, est-ce que l’avenir du wagon-bar ne se trouvera pas dans le couchette & breakfast ?